Corps et mémoires
Le corps est doté d'une mémoire infaillible, il n'oublie et rien et ne ment pas, il exprime ce qui est vrai. La mémoire est inscrite dans toutes nos cellules.
Cette mémoire déjà existante dans les ovocytes et les spermatozoïdes continue à s'engrammer dès la fécondation et se poursuivant dans la vie intra-utérine. participe à notre système de survie. C'est grâce à cette mémoire que nous sommes en vie et que la vie a pu continuer à se développer.
Lorsque nous sommes touchés par des émotions au stade embryonnaire, nous sommes touchés dans toutes nos cellules qui elles-mêmes vont en se différenciant, créer les tissus de notre corps, os, vaisseaux, nerfs, muscles et futurs organes... Chaque cellule emporte avec elle ses mémoires.
C'est parce qu'elle procède à notre survie qu'on ne peut pas l'effacer. On peut trouver ce qui est mémorisé et en faire la relecture d'une façon qui permet de mieux gérer voire d'effacer le stress qui en résultait.
La mémoire engramme tout. Tout ce que nous avons vécu est mémorisé dans 98 % d'espace cérébral. Notre mémoire retient et encode de façon encore plus intense ce qui déclenche une peur pour notre survie.
Au fur et à mesure que nous avançons dans la vie, nous empilons des événements sources de stress, qu'ils soient petits et répétitifs ou ponctuels et dramatique, la mémoire stocke. Notre cerveau va évacuer dans les organes de notre corps ces stress et générer des dysfonctionnements, douleurs, et somatisations.
L'effet désagréable de cette mémoire est que si des situations stressantes se répètent, notre cerveau va encoder ces situations comme des croyances et des vérités en ce qui nous concerne. Tant que nous n'en serons pas conscient, nous attirerons à nous des situations à l'identique dont l'intensité dramatique va augmenter à chaque fois.
Lorsque nous croisons un être humain, nos deux inconscients échangent en premier et bien avant nous. Nous ne distinguons au loin que la silhouette d'une personne et notre centre de survie commence déjà à "calculer" l'autre.
Chacun passe l'autre au scanner et ce sont des milliers d'informations qui arrivent à notre cerveau en une seconde, des milliers de connections se sont faites à notre insu afin de déterminer archaïquement si l'autre est ou peut être un prédateur pour nous ou non.
Selon Assaraf et Smith (in « La réponse » Ed l’Homme), notre cerveau inconscient a une vitesse d'influx nerveux de plus de 160 000 km/h et 400 milliards de connections de bits/seconde. Nous ne percevons consciemment que 2% de ce qu'il perçoit.
C'est grâce à son système hyper performant que nous sommes encore en vie aujourd'hui et que l'humain a pu se développer autant sur terre.
La technique de dégagement émotionnel que j'utilise va chercher les mémoires empilées, les restituer dans leur contexte avec l'émotion réellement engrammée.
Nous dénouons ainsi les nœuds qui nous séparent de nous-mêmes.
Nous ne pouvons trouver les problèmes du corps qu'en passant par lui et pas par le mental. Le corps est l'expression de l'inconscient. Lui seul sait. Lui seul connaît la vérité.
Cette mémoire déjà existante dans les ovocytes et les spermatozoïdes continue à s'engrammer dès la fécondation et se poursuivant dans la vie intra-utérine. participe à notre système de survie. C'est grâce à cette mémoire que nous sommes en vie et que la vie a pu continuer à se développer.
Lorsque nous sommes touchés par des émotions au stade embryonnaire, nous sommes touchés dans toutes nos cellules qui elles-mêmes vont en se différenciant, créer les tissus de notre corps, os, vaisseaux, nerfs, muscles et futurs organes... Chaque cellule emporte avec elle ses mémoires.
C'est parce qu'elle procède à notre survie qu'on ne peut pas l'effacer. On peut trouver ce qui est mémorisé et en faire la relecture d'une façon qui permet de mieux gérer voire d'effacer le stress qui en résultait.
La mémoire engramme tout. Tout ce que nous avons vécu est mémorisé dans 98 % d'espace cérébral. Notre mémoire retient et encode de façon encore plus intense ce qui déclenche une peur pour notre survie.
Au fur et à mesure que nous avançons dans la vie, nous empilons des événements sources de stress, qu'ils soient petits et répétitifs ou ponctuels et dramatique, la mémoire stocke. Notre cerveau va évacuer dans les organes de notre corps ces stress et générer des dysfonctionnements, douleurs, et somatisations.
L'effet désagréable de cette mémoire est que si des situations stressantes se répètent, notre cerveau va encoder ces situations comme des croyances et des vérités en ce qui nous concerne. Tant que nous n'en serons pas conscient, nous attirerons à nous des situations à l'identique dont l'intensité dramatique va augmenter à chaque fois.
Lorsque nous croisons un être humain, nos deux inconscients échangent en premier et bien avant nous. Nous ne distinguons au loin que la silhouette d'une personne et notre centre de survie commence déjà à "calculer" l'autre.
Chacun passe l'autre au scanner et ce sont des milliers d'informations qui arrivent à notre cerveau en une seconde, des milliers de connections se sont faites à notre insu afin de déterminer archaïquement si l'autre est ou peut être un prédateur pour nous ou non.
Selon Assaraf et Smith (in « La réponse » Ed l’Homme), notre cerveau inconscient a une vitesse d'influx nerveux de plus de 160 000 km/h et 400 milliards de connections de bits/seconde. Nous ne percevons consciemment que 2% de ce qu'il perçoit.
C'est grâce à son système hyper performant que nous sommes encore en vie aujourd'hui et que l'humain a pu se développer autant sur terre.
La technique de dégagement émotionnel que j'utilise va chercher les mémoires empilées, les restituer dans leur contexte avec l'émotion réellement engrammée.
Nous dénouons ainsi les nœuds qui nous séparent de nous-mêmes.
Nous ne pouvons trouver les problèmes du corps qu'en passant par lui et pas par le mental. Le corps est l'expression de l'inconscient. Lui seul sait. Lui seul connaît la vérité.
Les émotions sont inscrites dans le corps,
quand on libère les émotions,
on libère le corps et ses tensions.
quand on libère les émotions,
on libère le corps et ses tensions.